Mais la mise en place d'une culture irriguée la plus spectaculaire est en Israêl, dans le désert du Neguev. La démarche peut sembler étonnante, d'autant plus que les vignes sont sous perfusion d'eau salée. Eh oui... un protocole de production vieux de milliers d'années (époque des Nabatéens) qui offre un fruit plus sucré.
Le vieux rêve de Ben Gourion, des années 50 de voir un Neguev Vert.... Outre, les cultures de fleurs, de vergers.... Prend forme en l'arrivée de vins du désert reconnus sur la scène internationale.
Eh oui, qui l'eu cru ? Des vins du désert qui, en totale confrontation avec l'ensemble des règles traditionnelles de la culture du vin de la vieille Europe, obtient plus de 90 chez Robert Parker !
Sur les hauts plateaux du Neguev, Yatir (voir Yatir) et Sdé Boker (voir vin Tishbi spéciale réserve) produisent aujourd'hui les meilleurs crus du genre.
Quelques photos empruntées au site de Tishbi pour illustrer le paradoxe des vignes du désert. Les pieds enneigés en hiver et sous un soleil de plomb en été.


Sur ces mots, je vous souhaite toujours autant de plaisir à déguster ces vins... Et si vous aller en Israël.... prenez le temps de visiter une Winery.
A bientôt,
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